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Le terrain avant le symptôme : le pilier oublié de toute santé durable


prendre soin de son terrain

Comment décoder le terrain énergétique, inflammatoire et émotionnel chez toutes les espèces

"Soigner un symptôme sans interroger le terrain, c’est comme éponger une fuite sans jamais réparer la canalisation."


🌱 Introduction : Un changement de paradigme urgent


En médecine moderne comme en santé animale, l’approche dominante reste symptomatique : on observe, on supprime, on éteint. Un eczéma ? Crème corticoïde. Une boiterie ? Anti-inflammatoire. Une toux ? Sirop.Mais qu’en est-il du terrain ? Ce socle invisible, complexe, multifactoriel, où prennent racine les déséquilibres bien avant qu’ils ne se manifestent en surface ?

Le terrain est l’état global de l’organisme, son équilibre interne, sa mémoire cellulaire, son niveau vibratoire, son histoire émotionnelle, son degré d’inflammation silencieuse. Et il parle… si l’on sait l’écouter.


🔬 I. Le terrain : définition technique et multidimensionnelle


Le terrain, en naturopathie, médecine énergétique ou épigénétique, désigne bien plus que l’état physique de l’individu. Il est la somme des constantes internes, des mémoires tissulaires, du statut immunitaire, du niveau de toxémie, du bagage génétique mais aussi des influences émotionnelles et vibratoires.


Ses 4 dimensions principales :


1.Terrain biologique : acidose, dysbiose, niveau de toxines, statut micronutritionnel, équilibre neuro-endocrinien.


2 Terrain inflammatoire : présence d’inflammations silencieuses (digestives, articulaires, cérébrales) – souvent non détectées par la médecine conventionnelle.


3.Terrain émotionnel : émotions cristallisées dans le corps (peurs, chocs non digérés, conflits internes).


4.Terrain énergétique : circulation des énergies (chakras, méridiens, corps subtils), taux vibratoire, polarité.


👉 Chez l’humain, le cheval, le chien ou même le chat, ces terrains s’expriment différemment… mais obéissent aux mêmes lois universelles du vivant.


⚡ II. Le symptôme : une alerte, pas un ennemi


Le symptôme est souvent considéré comme une "maladie" à éradiquer. Pourtant, il est un message intelligent, un voyant rouge sur le tableau de bord. Supprimer ce voyant sans réparer le moteur revient à délégitimer le langage du corps.


Prenons des exemples :


  • Un chien en agility développe des tendinites récurrentes ? → Terrain acide, surcharge hépatique, trouble du foie (colère non exprimée ?).

  • Un cheval refuse le contact au montoir ? → Blocage énergétique au niveau sacré, mémoire de peur (propriétaire précédent violent ?).

  • Un enfant fait de l’eczéma chronique ? → Intestin poreux, stress émotionnel familial, terrain inflammatoire global.

Le symptôme est l’aboutissement. Le terrain est le début de l’histoire.


🧬 III. Comment lire un terrain : observation subtile et grille d’analyse


La lecture du terrain nécessite écoute, intuition, savoir clinique et regard global. Voici les axes d'observation concrets :


1. Biologique / organique


  • Langue, odeur corporelle, texture des poils, selles, haleine

  • Analyses de sang : CRP, homocystéine, bilan hépatique, cortisol

  • Rythme cardiaque, respiratoire, tension musculaire


2. Inflammatoire / immunitaire


  • Comportements cycliques (douleurs qui reviennent toujours au même moment du cycle lunaire ou saisonnier)

  • Infections à répétition, fatigue post-effort

  • Troubles digestifs chroniques


3. Émotionnel / traumatique


  • Comportements étranges, refus de contact, repli, agressivité

  • Zones du corps douloureuses au toucher sans cause physique apparente

  • Réactions disproportionnées à des stimulations anodines


4. Énergétique / vibratoire


  • Asymétrie des champs (tests radiesthésiques, kinésiologie, biochamp)

  • Fuites énergétiques (chakras effondrés, aura "percée")

  • Environnement perturbant (wifi, antennes, géobiologie, propriétaires angoissés)


🌊 IV. Pourquoi le terrain se déséquilibre : causes profondes


La rupture d’équilibre du terrain vient rarement d’un seul facteur. Elle est souvent le fruit d’un empilement multifactoriel :


  • Alimentation dénaturée (ultra-transformée, trop cuite, acidifiante)

  • Stress chronique, manque de repos, perte du rythme circadien

  • Vaccinations à répétition sans drainage

  • Sédentarité ou sur-sollicitation physique

  • Environnement électromagnétique pollué

  • Relations émotionnelles toxiques

  • Absence de lien avec le vivant, la nature, la terre


Chaque facteur agit comme une "goutte" dans le vase… jusqu’à ce que le symptôme déborde.


🌀 V. Soigner le terrain, c’est ouvrir la voie à la vraie guérison


Plutôt que "combattre une maladie", il faut réconcilier l’organisme avec lui-même.


Soigner le terrain, c’est :


  • Alléger l’organisme : détoxifier, relancer les émonctoires, alcaliniser

  • Renourrir en profondeur : micronutriments, enzymes, acides gras, plantes adaptogènes

  • Réinformer le système : homéopathie, élixirs, soins quantiques, ondes scalaires

  • Libérer les émotions cristallisées : EFT, constellations, ostéopathie biodynamique

  • Harmoniser l’énergie vitale : Reiki, magnétisme, soins vibratoires, soins sacrés animaux


Chaque espèce a son langage, mais chaque être vivant a un terrain qui cherche l’harmonie.


🐾 VI. Pour toutes les espèces : une approche unifiée du vivant


Que l’on parle d’un humain, d’un chien de compétition, d’un cheval de dressage ou d’un chat âgé… la grille de lecture est la même :Observer l’être comme un tout, dans son histoire, son environnement, son émotion, sa vibration.

Ce changement de paradigme exige de sortir du modèle "cause-effet", et de plonger dans la logique du vivant, non linéaire, non mécanique, profondément intelligente, intuitive, sacrée.


🌟Réconcilier science, intuition et conscience


Décoder le terrain, c’est entrer dans une médecine de la cause, du sens, de la prévention.C’est remettre la sagesse du corps au cœur du soin, et considérer le symptôme non comme une erreur, mais comme un appel à l’équilibre.


Une santé durable ne peut se construire que si l’on apprend à écouter les signaux faibles, à honorer la mémoire du corps, et à réharmoniser le terrain avant toute action thérapeutique.


"Ce n’est pas la maladie qu’il faut combattre, c’est la santé qu’il faut restaurer. Et elle commence toujours par l’écoute du terrain."

 

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